L'Etablissement public foncier de Normandie recherche une équipe de conception et de programmation de l'aménagement et de l'intégration urbaine d'un des rares bâtiments restés debout sur la friche industrielle laissée par la fermeture en 2001 du site historique de la marque Moulinex à Alençon.
Bar-le-Duc se décrit comme le "pôle Sud" du département rural de la Meuse, que l'arrivée du TGV en 2007 conforte dans son ambition d'atteindre le seuil de 20 000 habitants. Dans le cadre de son projet urbain, trois équipes de concepteurs maîters d'oeuvre vont être sélectionnées pour la requalification du centre-ville. Deux secteurs d'études ont été définis "qu'il conviendra de traiter différemment" selon la municipalité barisienne, dirigée par "une" jeune maire, Martine Huraut : d'une part l'hyper centre, comprenant le boulevard de la Rochelle, les rues Maginot et Rousseau et les rues et place des Minimes et d'autre part les rues et pont Notre-Dame et les rues Bar la ville et du Bourg.
La mise en service de la déviation nord de Saint-André libère les projets au sud. Trois équipes vont être sélectionnées fin septembre, qui rassembleront chacune, derrière un architecte-urbaniste mandataire, un paysagiste et un BET hydraulique et VRD. En effet, la commune de Saint-André-de-Sangonis, assistée de la Sem Hérault Aménagement, souhaite organiser de façon cohérente l'extension vers l'Hérault du secteur sud de son village, dont l'organisation est bousculée par sa position sur la nationale 109, ancienne petite route à 2 voies, doublée désormais par l'"A 750".
Le tout petit village de Puéchabon recherche une équipe pluridisciplinaire pour l'élaboration de son Plan local d'urbanisme. Situé dans les contreforts du plateau du Larzac, à dix kilomètres de Gignac (où passe l'A 750), après Aniane en remontant vers la montagne, Saint-Martin-de-Londres et le Pic Saint-Loup parallèlement aux gorges de l'Hérault, Puéchabon doit concilier développement villageois et respect d'un environnement naturel protégé par les directives Natura 2000.