Michel le Faou, vice-président de la Métropole à l'urbanisme et au logement, revendique la méthode d'urbanisme négocié à la Part-Dieu. Mais ce n'est pas tout. Le Grand Lyon va recréer un Atelier d'expertise à l'échelle de la ville et de ses franges, animé par le privé et le public, et chargé d'encadrer les opérations menées dans le diffus. L'outil, qui existait déjà au début de la mandature précédente, alimentera la révision du PLU : "Nous voulons faire converger l'urbanisme de projet et l'urbanisme réglementaire", résume l'homme fort de l'urbanisme lyonnais. La Métropole cherche actuellement les urbanistes qui vont animer cet Atelier.
Avec 715 logements livrés et habités, le projet en est au tiers du chemin. La Sorgem, aménageur, prépare donc la troisième phase opérationnelle du projet de Brétigny-sur-Orge, au niveau du Bois de Châtres. Elle en profite pour modifier le projet, en baissant de 120 logements le programme global, et en testant une nouvelle morphologie urbaine. Alors qu'elle s'apprête à lancer les travaux des prochains espaces publics, la Sorgem cherche un prestataire pour une mission de "concertation-appropriation", afin d'évaluer l'avis des Brétignolais sur les réalisations passées et futures.
Dans le PRU Balzac, la Ville avait prévu en 2007 de commercialiser les charges foncières autour de 263 €/m² SHON. Au final, les terrains se sont vendus à des prix plus attractifs, avec une charge foncière moyenne, sur les programmes en accession à la propriété à prix maîtrisé, d’environ 437 € m²/SHON.
La Ville de Saint-Nazaire va vendre l'emprise foncière de "l'îlot Montesquieu", ainsi que le parking inclus dans le domaine public de la Ville : 11 700 m² qui pourraient accueillir une cinquantaine de logements en accession libre et/ou sociale. Pour faire de ce programme un petit quartier d'habitation, la collectivité demandera au promoteur d'assurer une viabilisation en lots (et donc de financer les VRD), de manière à lui faire vendre des droits à bâtir à un bailleur social qui construira une trentaine de logements locatifs sociaux complémentaires.
EDF, non retenu par l'EPPS, avait contesté son élimination en déposant un recours suspensif. Mais l'électricien a été débouté. L'Etablissement Public Paris-Saclay (EPPS) avait retenu fin août 2014 trois groupements candidats au contrat de conception - réalisation - exploitation - maintenance (CREM) de ce réseau de chaleur et de froid, première pièce du projet de Smart Energy "d'ampleur inégalée en France". Dans cette seconde étape de la procédure négociée, s'opposaient le groupement EDF Optimal Solutions / Dalkia France, GDF Suez Energie Services (établissement COFELY Réseaux) et Idex Energies avec les capacités de la société Egis Industries, et du gestionnaire de réseaux Embix.
L'ancienne directrice de la Caisse des Dépôts en Ile-de-France intègre la direction de la SGP, ainsi que l'ingénieur Bernard Cathelain, venu d'ADP. Ils y seront les adjoints de Philippe Yvin, président du directoire. Les deux décrets de nomination, signés par le Président de la République en date du 25 mars, ont été publiés le 26 mars au Journal officiel.