La commune de Maurepas lance un étude de réaménagement sur l'ensemble des 83 hectares de la zone d'activités Pariwest, géré par l'association syndicale d'activités Coignières-Maurepas (Azacoma). Outre les restructurations routières et commerciales, la Ville veut amorcer un passage vers la mixité. Comprendre : introduire du logement en lieu et place des locaux désaffectés, malgré la présence de l'ICPE classée Seveso.
La communauté de communes du Genevois (CCG) cherche l'aménageur de sa ZAE "exemplaire", qui doit servir à rééquilibrer le nombre d'emplois côté français. Officiellement désigné en octobre 2015, le concessionnaire entamera directement ses missions par la rédaction d'un complément d’étude d’impact, et par le montage du dossier de permis d’aménager un prestataire pour l'étude d'impact d'une ZAE "exemplaire". A ce stade, Teknè (étude AEU), Teractem (étude de marché) et Avis Vert (étude faune-flore) ont déjà travaillé sur le projet.
Après avoir confié la seconde phase du projet à Jean-Pierre Pranlas-Descours, la Soreli s'est entouré d'un AMO développement durable, et d'un cabinet d'ingénierie pour une étude de définition technique des espaces publics. La première mission sera assurée par Nicolas Rougé (Une Autre Ville), et la seconde par le cabinet Axonéo. Leur travail doit servir à nourrir la mise à jour du plan-directeur par le nouvel urbaniste.
En orbite autour de Perpignan, l'Ille-sur-Têt va étendre son centre ancien vers l'ouest, sur 26,4 hectares de terres agricoles. De quoi épaissir la commune roussillonnaise de 500 à 600 logements (soit 90 000 m²), sur 18,1 hectares de terrains cessibles. Les 8,3 hectares restants concernent l'urbanisation existante, ainsi que les espaces publics et espaces de rétention programmés dans la ZAC.
La société de gestion immobilière de la ville de Marseille (Sogima) lance un appel à candidatures en deux lots. Elle compte procéder à la cession à l'amiable d'un parc immobilier, la Résidence des Arcades Saint-Jean, et d'un terrain adjacent, doté d'une constructibilité prévisionnelle d'environ 5 000 m². Situé en ZAC, la cession ne prend pas directement part au projet urbain, mais s'inscrit "dans le cadre d’arbitrage de patrimoine" de la Sogedim.
Une demande de pièces complémentaires sous réserve d'opposition fait grief. Mais l'annulation de la demande ne vaut pas autorisation. Les chroniques de Michel Huet, avocat, sont regroupées dans la rubrique Pratique Juridique. Elles peuvent classées dans les Articles Favoris de chaque abonné en cliquant sur l'étoile en regrad du titre.