Les projets de rénovation urbaine ont une chance : l'arrivée du Grand Paris Express. Un levier de transformation que compte bien activer la communauté d'agglomération du Val de Bièvre (CAVB). Elle lance une étude urbaine sur les secteurs Lebon, Hochart et Lallier.
En images : le Pont de l'Âne Monthieu a enfin trouvé son projet. L'Epase a sélectionné l'offre d'Apsys : 150 millions d'euros, 70 000 m² de commerces et de loisirs, sur la base d'un projet conçu par Sud Architectes, avec l'Atelier d'architecture Rivat, Studio Joran Briand, Edition sous Etiquette, Base, Elan, CM Economistes, Berim, et B-Ingénierie. En phase de dialogue compétitif, Apsys était opposée à Frey, Ikea Centres et Altarea-Cogedim.
'Il ne s'agit pas de réhabiliter une place, mais de restructurer des îlots, avec l'appui de l'EPF", indique Sylvain Groussard, directeur de la rénovation urbaine. Après les quartiers de la politique de la ville, les cités minières et les Divat, voici venu le temps d’élaborer une stratégie urbaine pour les communes « rurales » de moins de 5000 habitants.
Tisséo et la Métropole remettent à plat leurs projets de transports. On pensait que l'Aérotram avait fait les frais de l'alternance politique : il n'en est rien. Sans qu'il faille encore parler de projet - officiellement, les élus réfléchissent -, la nouvelle municipalité reprend l'idée de la gauche... Et bien plus encore. A la base, il était question d'un téléphérique pour relier l'Oncopôle à l'université Paul Sabatier (UPS) en passant par l'hôpital de Rangueil. A présent, il est question de pousser le tracé jusqu'à Basso Combo à l'ouest, et jusqu'au campus de Montaudran à l'est.
"Les opérateurs sont nombreux mais trop dispersés". La Cour des Comptes estime qu’un recensement du réseau des opérateurs publics locaux et la levée des blocages opérationnels qu’elle a identifiés permettrait d’améliorer les conditions de l’aménagement urbain en Île-de-France.