De nouvelles synergies vont naître entre les équipements métropolitains grâce au transfert des compétences sur les réseaux de chaleur, organisé par la loi MAPTAM. La Métropole Européenne de Lille (MEL) hérite ainsi de la gestion de six réseaux de chaleur répartis à travers son territoire. Auparavant, l'ancienne LMCU exploitait déjà le centre de valorisation des déchets (CVE) de Halluin. Des équipements qu'elle peut maintenant connecter les uns aux autres pour diminuer son recours aux énergies fossiles et réduire son bilan carbone. Un prestataire va être chargé de mener les études technico-économiques de ce projet.
La mission des urbanistes nécessitera de jouer avec l'hydraulique, et d'intégrer des pièces de micro-agriculture urbaine : sur les 160 hectares de périmètre, une centaine est en zone naturelle. La batterie de prestataires désignée par Nantes Métropole Aménagement démarre ses études pour étoffer et agrandir le Vieux Doulon. Les premières équipes de promoteurs-concepteurs vont être consultées à partir de 2018. Le temps pour Nantes Métropole Aménagement de poursuivre les études pré-opérationnelles, qui mèneront le projet Doulon-Gohards vers la création d'une ZAC en juin 2016.
L'EPF Paca prévoit de céder 16 329 m² de terrains nus dans la commune membre de l'Agglopôle Provence, pour y implanter une opération mêlant logements libres et logements locatifs sociaux. Au niveau du lieu-dit Parterre Nord, le programme viendra s'implanter à proximité immédiate de la mairie et du pôle commercial voisin.
Un premier comité de pilotage s'est réuni hier, 3 septembre, en présence des ministres du logement et de la ville, Patrick Kanner et Sylvia Pinel. L'occasion de mettre sur pied la deuxième opération de requalification des copropriétés dégradées d'intérêt national (ORCOD-IN), après celle de Clichy-Montfermeil, initiée en février 2015.
"L'accord a pu se conclure autour de 500 euros du mètre carré", explique à cadredeville Patrick Jarry, maire de Nanterre. Le partenariat entre les deux établissements publics va permettre de mobiliser 19 hectares de terrains appartenant à la SNCF, sur les 76 hectares de projet urbain. Hugues Parant, directeur général de l’Epadesa et Sophie Boissard, Directrice générale de SNCF Immobilier, ont signé hier, 3 septembre, le protocole foncier scellant l'accord, très attendu après plusieurs années de négociations. Il fait suite à un premier protocole, signé cette fois entre la Ville et l'Etat, le 9 juillet 2015.