La Ville fait sortir les deux SPLA de leurs périmètres historiques. Le Conseil de Paris qui s'ouvre ce matin, lundi 28 septembre, va voter l'extension du domaine d'intervention de Paris Batignolles Aménagement (PBA), afin de lui "confier certaines des opérations d’aménagement restant à engager". Elle pourrait dès lors possiblement porter le projet Saint-Vincent-de-Paul, qui doit se trouver une aménageur début 2016, dans la foulée de sa création de ZAC. La Semapa, aménageur de Paris Rive Gauche, va, quant à elle, passer rive droite, et se voir confier en concession la ZAC de la Porte de Vincennes.
Ambitieux sur les enjeux, exigeant sur les résultats, généreux dans ses annonces, le président est venu, jeudi 24 septembre à Montpellier, clore le congrès annuel de l’Union Sociale pour l’Habitat. Au fil d’un discours de près d’une heure, salué à la fin par une petite « standing ovation », le chef de l’État a aussi requis de chacun sa part de responsabilité.
Le centre-ville, "excentré", "éventré" et "dilué", cherche sa forme et son identité depuis plusieurs décennies. Une situation que le Grand Paris Express (GPE) pourrait bien, espère la commune, contribuer à réparer. La Ville cherche un prestataire pour mettre au point un plan directeur de mise en valeur et de dynamisation du quartier qui accueille déjà la gare du Transilien.
L'ouverture à la concurrence des lignes d'autocars interurbaines, organisée par la loi Macron, aura des conséquences urbaines. La commission dite Duron sur les "trains d'équilibre du territoire" (TET) préconise également de renforcer ce mode, notamment de et vers Lyon. Ces évolutions posent des questions : faut-il créer une gare routière pour accueillir les autocars ? Et si oui où, et comment ? Le pôle mobilité de la Métropole cherche actuellement un prestataire pour mener une étude de faisabilité et d'opportunité, afin de répondre à ces questions.