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Quartiers ANRU : première tranche du fonds de co-investissement immobilier avec le privé

"Nous voulons sécuriser l'investissement immobilier dans les quartiers", explique François Pupponi, président de l'ANRU. L'Agence lance un appel aux partenaires privés pour diversifier les activités et les types de logement dans les quartiers : centres commerciaux, logements, équipements, locaux d'activité. Les foncières portant des actifs dans les quartiers peuvent être intéressées, tout comme des opérateurs immobiliers, qu'ils soient locaux ou nationaux. L'Agence est en effet l'opérateur d'un programme de 250 millions d’euros de fonds propres du programme des investissements d'avenir, programme dédié à la diversification des 1 500 quartiers prioritaires de la politique de la ville - 1 300 sont en France Métropolitaine. L'ANRU engage la première tranche de ce fonds avec la Caisse des Dépôts : chacun des deux partenaires apportera 125 millions d'euros, dans le cadre d'une convention présentée le 10 novembre par Patrick Kanner. Une deuxième tranche donnera lieu à un deuxième partenariat.

Saint-Nazaire : appel à promoteurs pour reconvertir l'ancienne école George-Sand Saint-Nazaire : appel à promoteurs pour reconvertir l'ancienne école George-Sand

La Ville lance un appel à projets en direction de binômes promoteurs / concepteurs dans le quartier Méan-Penhoët. Elle cèdera à l'équipe lauréate les bâtiments de l'ancienne école George-Sand (aujourd'hui rattachée au groupe scolaire Ernest-Renan), ainsi que les terrains d'un parking en plein air : au total, 5 000 m² de terrains seront cédés pour une opération de logements à faible densité.

Logement : le prêt à taux zéro sera largement ouvert pendant deux ans

La mesure sera provisoire, mais forte, ont fait remarquer Christian Eckert et Sylvia Pinel, hier lundi 9 novembre, après avoir réuni les professionnels de l'immobilier et de la construction. Le prêt à taux zéro sera accessible dans le neuf comme dans l'ancien sur tout le territoire, les plafonds de revenus seront relevés, et les différés de remboursement allongés. Le ministre du budget précise que le dispositif ainsi élargi coûtera de l'ordre de 2 milliards en année pleine à l'Etat, contre 700 millions d'euros actuellement.