Paris a, une nouvelle fois, été victime d'attentats, plus sanglants que jamais. C'est Paris, c'est sa jeunesse, symboles d'un monde libre, dans les quartiers les plus animés, qui ont été meurtris. En ces jours de deuil national, comment penser à autre chose qu'à ces vies brisées au hasard ? aux familles, aux amis... Quentin Mourier, doctorant à l'Ecole d'architecture de Versailles, spécialiste de l'agriculture urbaine, Emilie Meaud, architecte dans l'agence Chartier-Dalix, un membre du bureau parisien de Renzo Piano, Amine Benmbarek, jeune architecte marocain, Matthieu Giroud, maître de conférence en géographie à l'université de Marne-la-Vallée...
Le comité interministériel du Grand Paris du 15 octobre avait acté la création d'une OIN "strictement économique" sur le territoire de Roissy Nord, partiellement à cheval sur le périmètre d'un contrat d'intérêt national (CIN), prévu lui sur le corridor aéroportuaire qui sépare Charles de Gaulle du Bourget. Dans la droite ligne de ces annonces, l'Etat s'empare donc de la question économique dans le Grand Roissy : la DDT du Val d'Oise, associée à l'EPA Plaine de France, va commencer à chercher les gisements fonciers dans les zones d'activités du secteur.
En raison des attentats, les délibérations du Conseil de Paris ont été reprogrammées du 16 au 23 novembre, pour une séance vidée au possible de ses contenus sujets à débats, orientée vers la continuité des sujets en cours. Dont celui de l'extension du T3, qui va passer une étape importante. La piétonnisation des berges de Seine (voir après), en revanche, ne devrait pas passer devant les élus avant le mois de décembre.
Située au Nord du quartier de Gerland, cette ZAC (ancien site Nexans) dont l’emprise foncière est de 17,5 ha, est considérée comme l’une des dernières grandes réserves foncières de Lyon intra-muros. Après la livraison des immeubles Opale et Ambre, Altarea Cogedim et Icade posent la première pierre d’Ivoire, un immeuble de bureaux situé au cœur de la ZAC des Girondins.