Séparés par le boulevard Masséna, les sites Bédier et Oudiné ont leurs destins liés, depuis leur regroupement au sein d’une seule et même ZAC en décembre 2019. Sous la houlette de la Semapa, cette nouvelle concession d’aménagement reprend les grandes lignes du GPRU Jacques Bédier-Porte d’Ivry, qui visait notamment à articuler le quartier aux "transformations du territoire élargi". Mais avant de relier les deux quartiers à leur environnement, l’aménageur souhaite leur conférer une identité commune.
Ancienne propriété de la Ville de Paris, le bâtiment remarquable qui fut une maison de retraite, et sa chapelle, va devenir une maison de la culture, des arts et des associations.
Un "espace vert" va être aménagé à proximité du centre de services du Parc scientifique de la Haute Borne, afin d'accompagner le projet de "rest'eau" porté par un restaurateur local. La SPL Euralille, aménageur de la ZAC de la Haute-Borne, souhaite associer la coopérative maraîchère le Jardin de Cocagne à la démarche. Le projet intervient alors que la ZAC mêlant terres agricoles et zones d'activités achève son urbanisation initiale autorisée, et qu'un "livre blanc des possibles" a été réalisé afin d'envisager la poursuite de son développement.
C'était un projet phare de la mandature de François Bayrou. Le renouvellement du secteur Saragosse, proche du centre-ville de Pau, est en cours. Alors qu'un permis de construire vient d'être décerné concernant le site de l'ancien hôpital Laherrère, secteur clé de l'opération, le dispositif visant à lutter contre les copropriétés dégradées est en train de s'étoffer avec la recherche d'un animateur pour le Programme opérationnel de prévention et d'accompagnement des copropriétés (Popac).
Lauréat d’un AMI pour la revitalisation de son centre-bourg en 2015, Lodève mobilise collectivités et organismes publics dans la lutte contre la dégradation et la vacance de son patrimoine. Aménageur local, la SPL Territoire 34 a la charge du volet foncier d’une opération urbaine qui s’étale sur le long terme – jusqu’ à 15 ans. Bien au-delà de l’échéance fixée par le dispositif initial à 2021.
Repositionnée en 2020 sur la lutte contre l'habitat indigne après avoir constitué un portefeuille de plus de 35 000 logements en quinze ans, la filiale d'Action Logement doit rationaliser la gestion de son patrimoine, pour l'adapter à ses nouvelles missions, et à son intégration à la consolidation des comptes du groupe Action Logement.