La Défense : Foster conçoit deux tours jumelles pour Hermitage
Emin Iskenderov, le patron de l'investisseur-promoteur russe Hermitage aprésenté au MIPIM'09 le nouveau projet de tours qu'il souhaite édifierà La Défense, au bord de la Seine. Tours au programme mixte, logements,hôtel, bureaux.
La structure, complexe, permet de garantir la plus grande fluidité au sol, et les meilleures vues depuis les étages supérieurs, explique sir Norman Foster. Un choix qui complique fortement les contraintes de construction. Mais les tours jumelles seront-elles vraiment construites alors que les projets moscovites d'Hermitage sont mis au ralenti ? A quel prix seront vendus les logements - annoncés dans le projet précédent de Jacques Ferrier à 12 000 euros/m² ?
En structure acier, les deux tours culmineront à 323 mètres, offrant, l'une 91, et l'autre 93 étages.
Emin Iskenderov annonce 25% de fonds propres, sur lesquels il déclare prendre le budget des études. Son tour de table rassemble déjà plusieurs banques française et internationales ("non-russes" précise-t-il). "A Moscou, déclare-t-il à cadredeville.com, j'ai gelé nos projets non encore lancés, mais les projets en chantier iront jusqu'au bout." Le marché moscovite n'est pas national, commente-t-il. Il devrait, selon lui, repartir à la fin de 2010.
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La structure, complexe, permet de garantir la plus grande fluidité au sol, et les meilleures vues depuis les étages supérieurs, explique sir Norman Foster. Un choix qui complique fortement les contraintes de construction. Mais les tours jumelles seront-elles vraiment construites alors que les projets moscovites d'Hermitage sont mis au ralenti ? A quel prix seront vendus les logements - annoncés dans le projet précédent de Jacques Ferrier à 12 000 euros/m² ?
En structure acier, les deux tours culmineront à 323 mètres, offrant, l'une 91, et l'autre 93 étages.
Emin Iskenderov annonce 25% de fonds propres, sur lesquels il déclare prendre le budget des études. Son tour de table rassemble déjà plusieurs banques française et internationales ("non-russes" précise-t-il). "A Moscou, déclare-t-il à cadredeville.com, j'ai gelé nos projets non encore lancés, mais les projets en chantier iront jusqu'au bout." Le marché moscovite n'est pas national, commente-t-il. Il devrait, selon lui, repartir à la fin de 2010.
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