La ville de Bordeaux souhaite disposer d'une approche globale cohérente de l'ensemble des projets urbains dans ses quartiers situés sur la rive droite de la Garonne : autour du tramway, à la Bastide... Elle confiera dans ce but une mission très large à une équipe pluridisciplinaire, qui permettra d'encadrer, notamment, le projet de grand parc urbain proposé par Michel Desvignes : approfondissement d'études déjà menées, mise en évidence des principes et des schémas d'organisation pour les futurs aménagements, méthodologie et montage de la maîtrise d'ouvrage opérationnelle sur toute la zone. Attention : candidatures pour le 28 mai.
Le quartier Scarron-Sorrières de la ville des Hauts-de-Seine mêle résidences d'un ensemble urbain prioritaire "politique de la ville", et pavillons. Les espaces extérieurs de la résidence des Sorrières sont en cours de réaménagement par Icade (ex-Scic). Le marché d'étude porte sur un schéma d'ensemble de réaménagement urbain, et sur une démarche de gestion urbaine de proximité. Le département a voté en mars une subvention pour cette étude. Une deuxième subvention permettra de mener une autre étude, sur le centre-ville.
Cette place de 10 000 m² au contact du quartier piéton du centre-ville accueille un marché bi-hebdomadaire. Les équipes comprendront un architecte-urbaniste, un paysagiste, un BET fluides-VRD, économiste. Candidatures pour le 23 juin. Offres pour le 15 septembre.
La couverture acoustique de l'A6b va être requalifiée dans la traversée d'Arcueil, Gentilly et le Kremlin-Bicêtre, jusqu'à son débouché parisien à la Poterne des Peupliers. L'agglomération du Val-de-Bièvre (sept communes, 185 000 habitants) lance le volet insertion paysagère et urbaine des études, cependant que l'Etat lance le marché de requalification acoustique et de modélisation de la pollution de l'air. Cinq équipes seront sélectionnées pour l'aménagement. Candidatures avant le 26 juin.
C'est dans le XVIIIe arrondissement, en secteur de lutte contre l'insalubrité, mais à proximité du futur jardin de la cour du Maroc, que la Société immobilière de la ville, la Siemp, cède les droits à construire de 30 logements, de locaux d'activités, et d'un parking de 80 places.