Une étude confiée par le SNAL à Guillaume Erner le met en évidence : les explications couramment avancées pour expliquer la crise du logement sont loin d'être suffisantes. La question foncière notamment relève avant tout d'une décision politique, et avant tout au niveau local, affirme le Syndicat national des aménageurs-lotisseurs. L'étude que nous publions passe en revue les facteurs de "crise" en s'appuyant sur les données disponibles de mesure de la consommation foncière. Notamment, la spéculation foncière ne peut être identifiée comme une cause de la rareté ou de la cherté des terrains, mais comme la conséquence de politiques malthusiennes...