Un projet métropolitain inédit et visionnaire se développe sur la Part-Dieu, piloté par la mission Lyon Part-Dieu et encadré par l’équipe d’architectes de L’AUC. Le plus important programme jamais entrepris dans le Grand Lyon est lancé sur 95 000 m² face à la gare TGV, à l’emplacement des hôtels Novotel.
Le secteur des Plaisances à Mantes-la-Ville constitue une emprise foncière de 8 500 m² dont la Ville est propriétaire. Il doit permettre de construire 120 logements. Les terrains acquis, pour certains, depuis plus d’une dizaine d’années sont aujourd’hui à l’état de friche. Certains comprennent un bâti vétuste, qui menace ruine.
Le projet devra développer des petits collectifs et maisons individuelles dans le quartier de la Salle. La ville de La Ciotat donne en concession un terrain de 50 000 m².
Christian Devillers avait animé, le 2 mai 2006, un débat avec entre autres François Bertière, Jean-Louis Subileau ou Jean-Luc Poidevin. La "demande urbaine" évoquée par Bernard Reichen ouvrait, semblait-il alors, à de nouveaux rapports entre acteurs publics et privés. Ces derniers revendiquaient leur capacité à intervenir sur le terrain de l'aménagement : Bouygues à Bordeaux/quartier Ginko, ou Nexity à Saint-Ouen/Les Docks... Quels peuvent être les rôles respectifs de chacun ? Les villes ne risquent-elles pas de perdre la maîtrise de leur espace public, le contrôle de la qualité architecturale, voire celui de leur développement social ou de la "durabilité" de leur aménagement ? Jusqu’où peuvent-elles déléguer au privé, et de quels moyens disposent-elles pour garder la maîtrise publique de l’aménagement ? Regard avec six ans de recul.