"Il y a eu Paul Delouvrier, mais les temps ont changé", a déclaré le Premier ministre hier lundi 13 octobre, à l'issue du comité interministériel consacré au Grand Paris. Manuel Valls a arbitré à cette occasion des questions touchant aux transports, à l'économie, à l'aménagement et au logement... et à la gouvernance de la métropole.
L'Etat, à un travers un de ses Ateliers des Territoires, va se pencher sur le couloir entre Pompignan et Montbartier, concerné par la future LGV Bordeaux-Toulouse. Il identifie ici des enjeux forts de croissance démographique et de développement urbain, mais aussi une gouvernance locale insuffisamment structurée. Entre Toulouse et Montauban, le périmètre d'étude représente un linéaire d'une quinzaine de kilomètres, réparti sur trois communautés de communes différentes. La DREAL cherche actuellement une équipe d'AMO pluridisciplinaire chargée d'animer l'Atelier chargé de répondre à une question précise : "dans un contexte de croissance démographique rapide et de forte pression urbaine, comment promouvoir un développement urbain mieux maîtrisé, favorable au report modal, et respectueux d'un cadre de vie de qualité?"
La communauté d'agglomération lance une batterie d'études préalables sur ce site remarquable qui accueille 20 hectares de ZAE, 25 hectares d'activités de loisirs en 5 hectares d'espaces naturels. Objectif : développer une offre de locaux d'activités innovants et respectueux du site classé, tout en optimisant le pôle loisirs, occupé par un circuit de karting et des terrains de sport.
L'architecte peut être le destinataire de la notification. Le Conseil d’Etat a rendu un arrêt en date du 24 septembre 2014, dans lequel il est venu préciser une des modalités de la notification d’un recours en matière d’urbanisme. Les chroniques de Michel uet, avocat, docteur en droit, sont rassemblées dans la rubrique Pratique Juridique, dans le menu en haut de page de cadredeville.com.