La SPLA de Rueil-Malmaison lance une étude stationnement sur les anciens terrains de Renault et de l'Otan. La Ville travaille avec Jean-Michel Wilmotte à la création d'un écoquartier, via une ZAC : 30 hectares ont été mis à l'étude, selon un périmètre retouché en mai 2014, notamment afin de prendre en compte l'arrivée du Grand Paris Express. La concertation va se poursuivre jusqu'à la fin de l'année.
Les 3 570 m², longés par le T5, vont accueillit trois lots de 7 700 m² SHON de logements chacun et 1 050 m² SHON de commerces. Pour monter le cahier des recommandations urbaines, Plaine Commune a fait appel à l'Atelier Choiseul, par ailleurs architecte-coordonnateur du PRU Sémard voisin. Avec des hauteurs variant du R+6 en front de l'avenue Elysée Reclus (ex-RN1) à R+2 en accroche au tissu pavillonnaire, l'opération va nécessiter la mise en place d'une procédure d'expropriation. Pour en préparer la phase administrative, Plaine Commune cherche une assistance foncière. La consultation des opérateurs privés devrait quant à elle être lancée entre le 4ème trimestre 2014 et le 1er trimestre 2015.
Le maire battu en mars 2014, Joel Duquenoy (divers gauche), avait en vain tenté pendant quatre ans de lancer une vaste opération de 580 logements et 30 000 m² d’activités, dont l’urbaniste était l’Atelier Castro-Denissof. La nouvelle maire d’Arques, Caroline Saudemont (divers droite) remet tout à plat.
Le groupement associant les cabinets R+4 Architectes (Forcalquier, mandataire), Leteissier-Corriol (Marseille) et les bureaux d’études Adret, Verdi Ingénierie, H et R, Gaujard et Génie Acoustique va réaliser le centre de formation du futur Eco-campus sur la commune de Sainte-Tulle, dans le Val de Durance (6 km de Manosque).
Suite à des "erreurs matérielles", le ministère du Logement publie au JO du 14 octobre un arrêté en date du 30 septembre, qui modifie celui du 1er août 2014, classant les communes par zones géographiques dites A/B/C, et applicable à certaines aides au logement.