Le quartier du Bas Clichy constitue, depuis janvier 2015, la première Opération de Requalification de Copropriétés Dégradées d'Intérêt National, pilotée l'Établissement Public Foncier d'Île-de-France. L'EPFIF prépare le projet urbain qui va accompagner le traitement des copropriétés dégradées, et la DUP qui permettra d'accélérer les acquisitions.
Le réaménagement du quartier de gare de Montpellier se poursuit. La SERM, concessionnaire de l'aménagement du projet pour Montpellier Méditerranée Métropole, lance une consultations pour deux lots. Proximité de la gare oblige, le tertiaire occupe une part non négligeable de la programmation, qui comprend également une partie innovante en termes de bureaux et d'hébergement.
La plus grande communauté urbaine de France se penche sur l'intégration urbaine des différents secteurs de projets urbains à Carrières-sous-Poissy. Le but : mieux intégrer le quartier prioritaire des Fleurs aux trois zones d'aménagement qui l'entourent. Et doter la Ville d'un projet d'aménagement global.
Nouvelle étape dans la reconquête des espaces portuaires à Dunkerque. La SPAD cherche une équipe pour une étude préalable sur l’aménagement d’Euraénergie, un parc d’innovation consacré à l’énergie sur une partie du Môle 2. Le but : modifier l’image de la cité de Jean Bart, la faisant passer de ville industrielle à ville technologique.
Le quartier de la ville d'Oissel-sur-Seine, en deuxième couronne de la Métropole Rouen Normandie, fera l'objet d'un conventionnement NPNRU. Situé à l'extrémité sud de quartiers d'ensembles pavillonnaires et de cités d'habitat social récemment requalifiées dans le cadre de l'ANRU1, ce secteur du nord de la ville, construit dans les années 70 s'est dégradé depuis les années 90 et le départ de Renault et des militaires du 71e RG.
Le bail réel immobilier souffle sa première bougie. Opérationnel depuis le 30 juin 2016, ce nouveau contrat de bail de longue durée, réservé à la production de logements intermédiaires, s’adresse en particulier aux promoteurs, bailleurs sociaux et investisseurs. Il repose sur un montage innovant : la dissociation de propriété entre le foncier et le bâti, durant un temps donné, pour diminuer le prix des logements qui seront proposés sur le marché avec une charge foncière allégée, laquelle peut atteindre jusqu’à 40% du prix d’un logement dans certaines zones en tension. Mais voilà, les programmes peinent à sortir de terre, alors que le bail réel immobilier recèle d’indéniables atouts. Comment rendre cet outil juridique innovant plus attractif aux yeux des différents acteurs du secteur ? Par Sophie Michelin-Mazéran, juriste et journaliste Sophie Michelin Mazéran
Le bail réel immobilier souffle sa première bougie. Opérationnel depuis le 30 juin 2016, ce nouveau contrat de bail de longue durée, réservé à la production de logements intermédiaires, s’adresse en particulier aux promoteurs, bailleurs sociaux et investisseurs. Il repose sur un montage innovant : la dissociation de propriété entre le foncier et le bâti, durant un temps donné, pour diminuer le prix des logements qui seront proposés sur le marché avec une charge foncière allégée, laquelle peut atteindre jusqu’à 40% du prix d’un logement dans certaines zones en tension. Mais voilà, les programmes peinent à sortir de terre, alors que le bail réel immobilier recèle d’indéniables atouts. Comment rendre cet outil juridique innovant plus attractif aux yeux des différents acteurs du secteur ?