La discrète foncière de La Poste possède un patrimoine conséquent, et compte faire évoluer son approche de l'immobilier, passant de gestionnaire à véritable opérateur. Poste Immo s'apprête ainsi à lancer un appel à projets pour cinq bâtiments construits dans les années 70, répartis sur le territoire national, d'une surface moyenne de 10 000 m². Elle cherche un AMO dans ce but.
L'agence Lambert Lénack a remporté l'appel à programme innovant "Habiter autrement" lancé par l'EPAMarne. Elle emmène avec elle une task force d'architectes, composée d'Aplus-Samuel Delmas, d'Archi 5, de Chartier-Dalix, MDNH, avec les paysagistes d'OLM, sur un projet de quartier qui vise à construire une véritable identité urbaine pour cette ville du secteur 3 de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée.
L’aménagement du dernier grand lot de la ZAC de la Haute-Borne se lance enfin. Dégelés il y a près d’un an, les terrains du "Grand Carré" vont être aménagés par la SPL Euralille, qui a confié à l'atelier Nervures la maîtrise d’œuvre des espaces publics. Il sera chargé d’accompagner le projet sur le long terme. Outre l'aménagement, le développement durable et la mobilité forment le triptyque des enjeux d’un site dont l’attractivité foncière ne fait aucun doute. L'agence Franck Boutté se charge du deuxième lot et le groupement emmené par Transports Terrestres Promotion - I-via TIC du troisième.
En 2009, la Mairie s'était lancée dans une procédure de ZAC multisites Novales pour créer un quartier de vie à l'Est de la commune. Trois ans plus tard, il est nécessaire de revoir légèrement la programmation d'un des deux sites, non urbanisé. Elle se donne un an pour lancer la ZAC Hautes Novales, et cherche une équipe de maîtrise d'ouvrage pour y parvenir.
La commune de Poilhes cherche un aménageur pour une ZAC multi-sites d'environ 5 hectares. Ce projet devra permettre de renforcer l'offre de logements et les équipements municipaux. Les espaces verts et de rétentions occuperont malgré tout une part importante de la surface de la ZAC.
Les marchands de sommeil seront traités comme des faussaires ou des trafiquants de drogue, a annoncé Julien Denormandie, à l'occasion d'un déplacement à Goussainville, le 15 décembre. Le plan de lutte contre les marchands de sommeil, dont les mesures seront inscrites dans la loi ÉLAN, renforce les moyens de détection et les sanctions à l'encontre des bailleurs indélicats.