Une étude canadienne publiée fin octobre 2018 établit un lien entre les formes urbaines et l'évolution politique des populations. Les banlieues et les espaces péri-urbains existent car la voiture existe. Leurs habitants et leur mode de vie en sont dépendants - au point que les tentatives de restructuration des tissus urbains via l'extension des pistes cyclables et transports en commun pourraient bien ne pas résister à un populisme politique pro-voiture.