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L'autorité environnementale régionale ne croit plus aux promesses du quartier de l'Ecole Polytechnique

La MRAe a rendu un avis pour le moins critique sur le projet du secteur "Est N 118" entre Orsay, Palaiseau et Saclay, qui recouvre les ZAC de Corbeville et le quartier de l'Ecole Polytechnique. Elle s'inquiète entre autres de la baisse importante de la part de logements dans la ZAC de l'école militaire aille à l'encontre de "l'ambition affichée de constituer un projet urbain s'éloignant d'un modèle basé sur la mono-fonctionnalité". Les reculades du calendrier de la ligne 18 imposent aussi de repenser le calendrier du projet - ou du moins de le "justifier".

Saint-Étienne : une seconde vie pour le seul gratte-ciel de la ville

La Ville de Saint-Étienne a prévu d'installer une partie de ses services dans le seul IGH de la ville, l'îlot Loubet, en cours de désamiantage par l'Établissement Public Foncier Rhône Alpes Auvergne, l'EPORA. Le reste du bâtiment sera commercialisé par l'aménageur d'État, l'Établissement Public d'Aménagement de Saint-Étienne.

Dans l'édition Juridique ce vendredi : faut-il avoir peur des implications juridiques du BIM ?

Dépourvu de base légale, distinct de la maquette numérique, la maîtrise d'ouvrage y a de plus en plus recours : la Société du Grand Paris y fait appel pour le grand métro. EpaMarne pour tout projet urbain. Cependant, les risques juridiques existent. En attendant le plan "BIM 2022", revue de détail dans l'Edition juridique de Cadre de Ville ce vendredi 1er février 2019.

Faut-il avoir peur des implications juridiques du BIM ?

Le BIM n’est plus une perspective à explorer, c’est une opportunité que de nombreux professionnels ont déjà saisie pour mener à bien des projets, qu'ils concernent le neuf ou la réhabilitation. En témoigne le choix de la Société du Grand Paris de recourir au BIM pour le Grand Paris Express. La loi Elan encourage d’ailleurs la transformation digitale dans la construction, ainsi que le nouveau plan « BIM 2022 ». Mais ce nouveau processus, aux promesses quasi infinies, ne bénéficie toujours pas d’assise législative ou réglementaire. Or les risques juridiques innervés par cette nouvelle façon de concevoir et de collaborer existent bel et bien.