Le challenge est relevé : apporter du collectif social dans une ville de maisons individuelles et de pavillons. Après une concertation numérique autour du projet de l'agence d'architectes ANMA, l'aménageur, EPAMarne, se prépare à lancer les premières consultations d'opérateurs sociaux et privés. Entre 330 et 400 logements vont s'insérer dans le tissu existant. Les trois premiers lots vont faire l'objet de consultations en 2019.
A ce stade, la commune attend des candidatures pour organiser un AMI restreint. C'est sur leurs références passées que les candidats, seuls ou en groupement, seeront ensuite consultés via une procédure "d'appel à manifestation d'intérêt". La consultation est menée par la commune pour le compte du centre hospitalier.
La petite ville de Xertigny, proche d'Épinal, se lance, avec l'aide du CAUE 88, dans un projet innovant et global de revitalisation de son centre-bourg. Un travail sur les seuils et les entrées de ville est attendu de la part de Stéphane Thalgott Paysage par la Ville et le CAUE.
Dans un avis rendu le 22 janvier mais non publié, que cadredeville.com met en ligne dans son Edition Juridique, le Conseil d'Etat se penche tant sur les questions de domanialité que de procédure, liées à l'appel à opérateurs privés pour réaliser des passerelles "habitées" sur la Seine. Dans le cadre de Reinventing Cities, lancé en novembre 2017, trois sites avaient été proposés. En novembre 2018, alors que le conseil de Paris annonçait la mise en place d'un Atelier Seine destiné à examiner les projets d'aménagement des berges, la préfecture de région annonçait, elle, une saisie du Conseil d'Etat sur la question des passerelles. Deux établissements de l'Etat sont en effet impliqués : VNF et Ports de Paris.