"Nous ne voulions pas faire une opération financière", avoue l'adjoint au maire de Saint-Germain en Laye, chargé des finances, Maurice Solignac, après un AMI pour étendre le centre-ville. Ce n'est donc pas le plus-disant qui l'a emporté, mais un projet qui compose au mieux entre le besoin de modernisation d'un tissu sans cohérence urbaine et mono-fonctionnel, et le sens de la mesure qui caractérise cette grande commune yvelinoise aux accents très provinciaux. Le groupement OGIC a été choisi jeudi 11 juillet par le conseil municipal.
Les dispositifs actuels, à savoir le PIG de Nanterre Habitat Plus 4 et l'OPAH-CD, accompagnent 16 des 18 ensembles de la ville. Le premier se termine en août, le second en février prochain - et la Ville pense à la suite. Au menu, assurer que les travaux engagés aboutissent mais aussi éviter toute rechute et voler au chevet des copropriétés se révélant fragiles.
L'équipe Addenda (mandataire)/Aarp/Idtec assurera le lien entre les différentes maîtrises d'œuvre au fil des secteurs de projet. Une dernière étape avant le conventionnement avec l'Anru prévu pour ce mois-ci, qui permettra à la Ville d'engager dès l'année prochaine son programme qui prévoit, à terme, la démolition de près de 300 logements.
Avec le déménagement du CHR, la Ville a pu imaginer un tout nouveau quartier sur deux hectares en plein centre du quartier Ville Nouvelle du début du XXe siècle. Si l'ensemble dessiné par les Ateliers Lion & associés et Iris Conseil sera principalement neuf, deux ailes du bâtiment historique ont été conservées à la demande de l'Architecte des Bâtiments de France. C'est dans ces 5 200 m² qu'il s'agit d'imaginer un programme de reconversion original.
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