L'utopie est en marche sur le lot Lepage à Saint-Vincent de Paul. La Ville de Paris veut impulser ici une "fabrique alternative du logement", fondée sur "la solidarité et la non-spéculation", visant "une vie collective plus mixte et plus intense". Le groupement mené par Dreier Frenzel et Belval & Parquet avec le paysagiste Wild vient d'être désigné co-concepteur des 33 logements dont 23 logements en BRS participatif.

Près de la future gare GPE et actuelle gare RER C des Ardoines, l'EPA Orsa poursuit l'aménagement de la ZAC Gare Ardoines de Vitry. Si quelques fonciers doivent encore être maîtrisés, la première phase opérationnelle du projet est en route. L'année 2022 sera celle où débuteront plus de dix chantiers - notamment ceux du secteur Descartes, particulièrement avancé, qui sera quasiment achevé au moment de l'ouverture de ce tronçon du GPE, prévue à la fin 2025.

A cheval sur les communes d'Albigny-sur-Saône et Couzon-au-Mont-d'Or, le site de la Loupe correspond à un tissu hétérogène, à dominante économique mais avec quelques secteurs résidentiels et plusieurs équipements. Tout en confortant sa vocation économique, en révélant son potentiel touristique et en renforçant la trame verte et bleue, la Métropole de Lyon souhaite en faire un véritable morceau de ville, mixte et complémentaire des pôles urbains situés en rive gauche de la Saône, tout en renforçant la TVB de la rivière - elle recherche donc un architecte-urbaniste-paysagiste en chef ainsi qu'AMO Qualité Environnementale. Le projet devra faire face à des contraintes techniques et foncières.

La Sem Loire Atlantique Développement va faire concevoir le projet urbain de la prochaine phase d'urbanisation de 21 ha qui portera une soixantaine de logements dans la petite commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons.Le projet joue sur la diversité des surfaces et des typologies. Les logements seront proposés en accession abordable, en accession ou en location sociale, en groupé ou en terrains à bâtir. La commune offre les services et équipements à même de permettre ce genre de développement varié.

Depuis 2015, la pratique du vélo dans la métropole de Bordeaux augmente en moyenne de 10% par an. Autant dire qu’elle explose. La crise sanitaire n’a fait que conforter cet élan : il y a un an, d’après l’étude Ifop sur “la mobilité des habitants de Bordeaux Métropole à l’heure du Covid-19“, 14 % des habitants utilisaient la petite reine au quotidien. Classée 5e des métropoles cyclables au dernier baromètre de la FUB, la collectivité souhaite encore changer de braquet. Après avoir adopté en septembre 2021 un 3e Plan vélo (2021-2024), elle en démarre le principal chantier : la réalisation d’un réseau express, composé de 14 lignes structurantes. En commençant par le lancement d’une étude programme sur ce projet.