"Il faut produire une forme d'individualité au sein du collectif", commente pour Cadre de Ville Samuel Linzau, DG de la SPL. Pour s’adapter aux nouvelles exigences climatiques, sociologiques et environnementales, la SPL Confluence modifie le projet de la phase 2 du grand projet qu'elle aménage, pourtant déjà considéré comme un territoire d’innovation et d’exemplarité dans le domaine du développement durable. Le président de la SPL Confluence et maire de Lyon, Grégory Doucet a défini quatre "inflexions" prioritaires : favoriser les mobilités exemplaires et le logement abordable, créer un concept de "ville des enfants", reconnecter La Confluence à ses fleuve et rivière. Mais aussi, accentuer la végétalisation, multiplier les espaces piétonniers, et viser la haute performance des constructions et des réhabilitations.
L'Établissement public foncier et d'aménagement de la Guyane a fait face à une année 2021 difficile, notamment en raison d'aléas météorologiques qui ont empêché la réalisation des travaux prévus. Plusieurs projets ont toutefois avancé ces derniers mois, et l'Epfag, qui a prévu d'investir 453 M€ sur la période 2021-2026, poursuit son action pour que le rythme de développement du parc "légal" dépasse celui des logements informels, dans un contexte de croissance démographique toujours soutenue.
Au Sud-Est de la Seine-et-Marne, la Communauté de communes Bassée-Montois compte deux polarités distinctes et relativement indépendantes, à savoir les communes de Donnemarie-Dontilly et Bray-sur-Seine. Alors que ces deux communes sont bénéficiaires du programmes Petites villes de demain, l'EPCI veut se doter d'un schéma directeur d'aménagement pour chacune d'entre elles, mais également articuler les réflexions d'échelle communale à une stratégie plus large de développement territorial.
En pleine croissance, le GIP éditeur public de solutions informatiques pour les établissements publics de santé envisage une croissance de ses effectifs, tout en intégrant l flexibilité des modes de travail. CPage va acquérir u projet du promoteur Patriarche dont le chantier débute dans l'écoparc Valmy à Dijon.
Au lendemain de la secousse provoquée par la pandémie, l’Institut Paris-Région livre un précieux constat sur l’état environnemental de l’Île-de-France. Malgré certaines tendances baissières liées à un durcissement de la réglementation, la région-capitale reste fragile face à un certains nombres de menaces écologiques, dont l’érosion de la biodiversité, le réchauffement climatique et la perturbation des cycles de l’azote et du phosphore forment le trio de tête. L’étude met en lumière les spécificités et les paradoxes du territoire francilien qui appellent, en premier lieu, à une vision globale indexée sur les écosystèmes plutôt que sur les découpages administratifs actuels.
