La mission d'élaboration du schéma directeur est lancée. Depuis dix ans, la base sous-marine à Bordeaux est reconvertie en équipement culturel. Mais, dans le cadre du vaste projet d'aménagement des Bassins à flot, son toit restait en jachère. Le réaménagement du toit de la base sous-marine se profile cependant sur une partie. La Ville de Bordeaux souhaite y implanter une ferme urbaine, afin d'ajouter à la végétalisation du secteur, outre une recherche de valorisation énergétique.
31
La mutation des Hauts de Poissy se concentre dans la transformation du quartier Beauregard. Coordonner les différentes maîtrises d'ouvrage passera notamment par la rédaction d'un protocole foncier. Après un appel à candidatures pour la refonte des espaces publics du secteur, la Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise cherche un prestataire pour assurer la coordination des projets en cours.
La SAGES, la SPL de la Ville de Grenoble en charge de l'aménagement de l'écoquartier Flaubert, lance un AMI sur la partie Sud du site de l’Institut National Supérieur de Professorat et de l’Education (INSPE, ex-IUFM). Il s'agit d'initier un projet d'urbanisme tactique en mettant cet espace à disposition d’un projet d’occupation temporaire innovant pour une durée d’exploitation de 4 ans.
Si elle porte plusieurs projets de requalification de ses parcs d'activités, Montpellier Métropole Méditerranée souhaite également en créer de nouveaux à terme. Cinq sites, à Baillargues, Fabrègues, Pignan, Saint-Jean-de-Védas et à Vendargues, ont été identifiés pour accueillir un développement économique en extension urbaine, pour un total d'environ 40 ha. La SA3M, mandatée par l'EPCI, lance aujourd'hui des études préalables - de la faisabilité au déploiement des procédures opérationnelles - pour lesquels elle recherche une équipe unique, qui travaillera sur les cinq sites.
Avec 21 quartiers inscrits au NPNRU, répartis sur cinq de ses six Conseils de Territoire, la Métropole provençale fait face à une problématique complexe : celle du relogement des ménages impactés par les démolitions. La convention-cadre de 2020 estimait à 8 400 le nombre de ces mouvements résidentiels, dont la trajectoire "positive" conditionne l’attribution de financement aux bailleurs-démolisseurs. Mais, déjà, dans le CT1, qui enregistre le plus grand nombre de demandes, un tarissement s’observe du côté des réservataires... La collectivité veut donc recruter un AMO pour coordonner entre eux les dispositifs, se débarrasser du superflu et dérouler une meilleure gestion des flux.
La Drieat perd sa directrice, qui devient directrice de cabinet de la ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Elle fut conseillère énergie de NKM ministre de l'Ecologie, conseillère technique, puis directrice de cabinet de Benoist Apparu secrétaire d'Etat au Logement - chargé aussi de l'urbanisme. Ingénieure en chef des Ponts, Emmanuelle Gay avait pris, le 23 avril 2018, les fonctions de Driea dont elle conduisit la fusion avec la Driee. Si l'on critique l'absence de ministre du Logement, la dircab d'Améile de Montchalin en est une experte.