Reconversion de bureaux en logements, végétalisation, création d'équipements en lieu et place d'un tissu résidentiel pavillonnaire... L'ensemble bâti autour de la dalle qui porte la mairie de Nanterre s'apprête à faire peau neuve, dans le cadre d'un projet pour lequel la SPLNA recherche une maîtrise d’œuvre urbaine.
Dans le cadre du NPNRU du Banlay, la Ville de Nevers a choisi de lancer une concession d'aménagement d'une durée de six ans pour construire et réhabiliter des cellules commerciales et des équipements publics de proximité. L'objectif : apporter de la mixité fonctionnelle et de l'animation autour de la place du village au moyen d'une nouvelle polarité économique. La concession doit démarrer d'ici fin 2022.
Soucieuse de créer du logement social pour répondre à la loi SRU et à la pression démographique, la commune de Saint-Estève cherche une équipe de maîtrise d'oeuvre pour concevoir le projet de réaménagement du secteur Méditerranée. Celui-ci porte sur des immeubles bâtis, une place et un parc public. L'opération est en réalité déjà engagée puisque le centre commercial a été rénové en 2020 et que l'ancienne gendarmerie est en cours de démolition.
Le plus vieux parc de la capitale picarde n'a pas subi d'intervention majeure depuis les années 1950. Aujourd'hui, la municipalité recherche un maître d'oeuvre pour diversifier ses usages et répondre aux enjeux d'adaptation au changement climatique. Plusieurs points critiques restent à trancher, comme le maintien sur le site de la foire de la Saint-Jean, ou le devenir de l'avenue Salvador Allende, axe routier majeur qui scinde le parc en deux.
La présidente de la Communauté urbaine du Grand Reims vient d'être nommée, par décret présidentiel, à la tête de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine, où elle succède à Olivier Klein, ministre de la Ville et du Logement. Catherine Vautrin devra gérer les dernières années du NPNRU 2014-2024, en phase opérationnelle dans la grande majorité des quartiers cibles, et préparer l'évolution des politiques de renouvellement urbain à l'horizon 2025.
Dans une décision publiée au Bulletin, la Cour de cassation infléchit sa jurisprudence s’agissant de la sanction attachée à la méconnaissance du cahier des charges d’un lotissement. Dorénavant, la démolition de la construction irrégulière n’est plus systématique, dès lors qu’elle se révèle disproportionnée par rapport au manquement contractuel et au préjudice subi par le colotis. Reste, en revanche, la sanction pécuniaire pour le contrevenant.