Une passerelle reliera le centre-ville d'Épinay-sur-Seine au Parc départemental de L’Ile-Saint-Denis. Cet ouvrage d'art en arc, doit permettre à la commune de se réapproprier les berges de Seine. La commune lance une mission de maîtrise d’œuvre pour la réalisation de cette passerelle.
La commune vient de retenir sur AMI un groupement composé de Linkcity avec les urbanistes D&A pour accueillir 300 logements dans la zone d'activités du Fossé Pâté à transformer en quartier désirable en entrée de ville à la lisière de la campagne. Le groupement retenu va en effet étudier et réaliser un programme dont la faisabilité a été estimée à 300 logements et 2 500 m² d'activités par l'Epfif. La municipalité souhaite en effet amener ici de la mixité entre du logement et l’activité économique déjà présente. Le temps est venu de définir un projet urbain, puis une forme originale de partenariat public-privé. La commune souhaiterait répondre à la troisième vague d'appels à projets de la démarche DVD opérée par la Caisse des Dépôts pour le compte du SGPI.
Le Projet de rénovation d'intérêt national des Hauts de Creil, qui concerne 22 000 habitants, est désormais bien engagé. La Ville de Creil vient de recruter deux équipes de maîtrise d'oeuvre des espaces publics pour réaliser une partie du projet de rénovation conçu depuis 2018 par l'atelier Marion Talagrand. Au Moulin, l'équipe SETEC TPI/Atelier Grégory Tissot va aménager la coulée verte et le parc des Carrières tandis que le groupement Sogeti Ingénierie Infra/Urbicus/Geodice/Trait Clair sera chargé de hiérarchiser la trame viaire des Cavées.
A Grenoble la place de Metz et la rue de Strasbourg forment un secteur où cohabitent piétons, automobiles, commerces et sites patrimoniaux. La métropole souhaite requalifier ce quartier avec pour objectif la diminution de la part de la voiture et la reconquête du secteur par les piétons. Le principal atout de ce projet se trouve sur le parvis de l'église qui offre un potentiel de végétalisation et de désimperméabilisation important.
La ville profite de l'accueil de cet événement international en juin 2025 pour se doter d'un nouvel espace de congrès, appelé à remplacer Acropolis dont la démolition a débuté. Elle lance, dans la foulée d'une première consultation d'AMO ouverte mi-avril, un appel à opérateurs pour un marché de conception-réalisation des structures d'exposition, d'accueil et d'événementiel.
L'établissement public milite pour une meilleure prise en compte du vent et de la ventilation naturelle dans ses projets d'aménagement. Une orientation qui puise aux sources de l'OIN, labellisée ÉcoCité en 2009 et pensée comme "un laboratoire d'exploration en termes de développement durable adapté au climat méditerranéen". À l'heure du réchauffement climatique, les enseignements de l'étude qui se lance aujourd'hui pourraient essaimer bien au-delà du territoire phocéen.
Le 24 avril, le juge des référés du tribunal administratif de Limoges a suspendu la décision du maire de Beyssenac, en Corrèze, de préempter des immeubles destinés à accueillir un centre d’accueil des demandeurs d’asile de 40 places. Il estime que cette décision est susceptible de constituer un détournement de pouvoir dès lors que la commune s’était montrée défavorable à l’implantation de ce centre et qu'elle ne justifiait pas d’un projet d’aménagement répondant à un objectif d’intérêt général.
Un arrêté du 17 avril prévoit que, désormais, les dossiers de demande d’autorisation d’urbanisme ne devront plus comporter les éléments nécessaires au calcul des impositions dues par le porteur de projet. Il modifie également les dispositions relatives aux plans qui doivent être joints aux dossiers.
Par arrêt du 18 avril 2023, la cour administrative d’appel de Lyon a confirmé le jugement du tribunal administratif ayant a annulé le permis de construire délivré à la société SIAB pour édifier un ensemble immobilier destiné à accueillir notamment le siège social de la société Grand Frais dans le 7e arrondissement de la commune. En effet, le nouveau PLU de la métropole de Lyon n'autorise pas la construction d'immeubles de bureau dans la zone du terrain d'assiette du projet.
« Pour réduire l’usage de la voiture, nous devons amener le train là où il est absent aujourd’hui » explique le député des Bouches-du-Rhône, Jean-Marc Zulési, également président de la commission de développement durable de l’Assemblée nationale. C’est dans cette optique que le député a déposé, le 25 avril, une proposition de loi relative aux services express régionaux métropolitains (SERM). Conformément au rapport du Conseil d’orientation des infrastructures (COI) de décembre dernier, rappelant qu’un projet de « service express régionaux métropolitains » (SERM) est avant tout un « projet de développement de services avant d’être un projet d’infrastructure », le texte propose une définition large des SERM permettant d’inclure d’autres modes de transports, en particulier les réseaux de cars express. Il prévoit également que la Société du Grand Paris, qui à cette occasion serait renommée, soit chargée de la maîtrise d’ouvrage du déploiement de ces infrastructures.