42,6°C à Paris durant l'été 2022. Jusqu'à 60°C lors des pics de chaleur sous les toits et sur l'asphalte des routes. Que réserve l'été 2023 ainsi que les périodes estivales à venir dans la capitale ? Et surtout, comment adapter la ville pour la rendre vivable ? Pour répondre à ces questions, la municipalité parisienne a lancé une mission d'information et d'évaluation. Intitulé "Paris à 50°C", son rapport liste les vulnérabilités qui fragilisent le territoire lors des fortes chaleurs. Il revient, en outre, sur les politiques déjà mises en place par l'équipe municipale. Enfin et surtout, le document propose une série de préconisations pour "habiter Paris demain malgré le défi climatique", comme l'espère Alexandre Florentin, élu écologiste à la Mairie de Paris et président de la mission "Paris à 50°C".
La transformation du quartier Beauregard à Poissy se poursuit avec la requalification de ses espaces publics. Ces aménagements ont pour objectifs d'affiner le parcours résidentiel, de désimperméabiliser et de désenclaver les îlots.
Changement de cap pour la Cité scientifique de Lille. L'Université s'apprête à revoir l'aménagement d'ensemble de ce campus "à l'américaine", conçu dans les années 1960 par les architectes Noël Le Maresquier et Jean Vergnaud. Implanté dans la commune de Villeneuve d'Ascq sur un périmètre de 120 hectares, la Cité s'apprête à faire évoluer ses espaces urbains et publics dans une logique d'"Ecocampus". Et pour cause : elle dispose de 24 hectares d'espaces verts qu'il s'agira, entre autres missions, de mettre en valeur. Pour mener à bien son projet, l'Université de Lille recherche une équipe de maîtrise d'œuvre urbaine et paysagère, comprenant un écologue. Spécificité du plan-guide attendu : il devra faire aboutir à une qualité paysagère et environnementale, permettre le rayonnement métropolitain du site et développer son ancrage local.
L’inauguration du quartier Gimenez marque le point final de ce PUP, situé au Carré de Soie, sur la commune de Vaulx-en-Velin. Cette opération est l’expression d’une parfaite réussite du partenariat public / privé, et d’un l’équilibre harmonieux entre le bâti et le végétal qui occupe la moitié de cette friche de 5 ha. Une opération qui va dans le sens de la politique métropolitaine lyonnaise dont les priorités sont sociales et environnementales.
Le plateau de Frescaty, ancienne base aérienne, représente 380 ha à reconvertir en exploitant son important potentiel de valorisation de friches, et fait question pour la métropole. Pour les élus, l'aménagement de cette zone où se trouvent essentiellement des activités économiques, permettra d'optimiser le potentiel de développement économique métropolitain mais aussi de préserver et renforcer la qualité des espaces urbains et naturels existants.