Choisy-le-Roi, Valenton, Villeneuve-Saint-Georges, le Kremlin-Bicêtre, Vitry-sur-Seine, Viry-Châtillon. Les quartiers NPNRU de ces 6 communes sont entrés pleinement en phase opérationnelle. La collectivité vient de désigner City Linked et Citizing Consulting pour l'accompagner dans la coordination de ces multiples opérations. Ainsi se succèderont, dans les prochains mois et prochaines années, des démolitions/réhabilitations/reconstructions/extensions d'envergure, qu'il s'agisse de logements ou d'équipements publics. Le développement de locaux à vocation économique est également vivement encouragé dans des secteurs où le taux de chômage est élevé. De quoi rendre les rez-de-chaussée des nouvelles constructions plus "actifs" : l'ESS et les activités productives semblent plébiscitées dans ces communes du Val-de-Marne.
Dépourvue d’un véritable centre-ville, Villeneuve-la-Garenne a mis en place une stratégie de renouvellement urbain reposant sur des interventions sur l'habitat et sur une restructuration urbaine de son cœur de ville. À travers des opérations paysagères permettant la réalisation d’une coulée verte et la création d’une nouvelle trame viaire et piétonne, la commune veut se doter d'une nouvelle centralité, fédératrice et attractive.
Changement majeur pour le projet aux 400 hectares. La mission de maitrise d’œuvre urbaine du cabinet Aktis, qui travaille sur le projet GrandAlpe depuis 2018, est arrivée à son terme. Si un plan guide a été élaboré et des premiers projets conduits, Grenoble-Alpes Métropole estime que la stratégie d’intervention doit encore être retravaillée "pour parvenir à concrétiser une ville-parc attractive et résiliente". AIA Territoires et AIA Environnement ont ainsi été désignés AMO paysagère, urbaine, architecturale et environnementale pour la deuxième phase du projet GandAlpe et la finalisation du PRU des Villeneuves de Grenoble et d'Échirolles.
De nombreux projets et immobiliers prennent place à proximité de la commune de La Wantzenau, au Nord-Est du périmètre de l’Eurométropole de Strasbourg. Pour desservir au mieux ce territoire en pleine transformation, la collectivité souhaite aménager la gare communale en pôle d’échange multimodal. L’intermodalité, le renforcement des modes de déplacement alternatifs à la voiture et le renforcement du stationnement sont des enjeux clés du projet d’aménagement du PEM. Les espaces publics doivent également être aménagés pour devenir des espaces verts paysagers, de manière à renforcer l’attractivité du PEM de La Wantzenau. La date limite de consultation, initialement fixée au 16 avril, est prolongée jusqu'au 14 mai.
La commune, qui bénéficie du programme Action Cœur de Ville depuis 2018, ne cesse de se développer depuis 10 ans. Pour accompagner son expansion, elle a notamment "sanctuarisé" 900 ha de terres agricoles au sein de son PLUi, dont une partie sera urbanisée et une autre préservée en espaces naturels. C'est ainsi qu'une emprise de 36 hectares va être aménagée pour accueillir un nouveau quartier d'activités économiques. Le projet a été confié à la SEM 47 dans le cadre d'une concession d’aménagement.
Les espaces naturels présents sur la commune souffrent d'un déficit d'usage et restent peu accessibles du fait du manque de connexions. La Ville de Marly compte capitaliser sur ces réserves de biodiversité pour réaliser le "parc naturel urbain" de la Rhônelle, un espace paysager de 28 hectares, qui irriguera la commune en espaces naturels sur un linéaire de 1,5 kilomètre. Ce parc accueillera des usages multiples, des balades, des aires de jeux, des activités sportives, de la pêche ou de simples espaces de repos et de détente. Plusieurs secteurs à forts enjeux ont été identifiés dans le cadre de ce projet qui nécessite un travail important de reconnexion des espaces urbains aux espaces naturels.
Les opérateurs de projets urbains ou immobiliers seront notamment concernés. La loi publiée au JO du 16 avril, inscrit dans le Code civil le principe d’une responsabilité fondée sur les « troubles anormaux de voisinage » qui existait déjà dans la jurisprudence. Il s’agit d’une responsabilité sans faute, il suffit que le trouble soit considéré comme anormal pour que la responsabilité de son auteur soit engagée. Sont notamment concernées, les nuisances causées par les constructeurs, les exploitants de dark stores ou les agriculteurs.
Par un arrêt du 2 avril, la Cour administrative d’appel de Bordeaux juge que pour délimiter des zones potentielles de développement de l’éolien, un PLUi ne peut exclure certains secteurs en raison de la seule opposition de principe des communes défavorables à leur implantation.
Rien ne sert de se dépêcher à réaliser des travaux pour tenter d’échapper à une décision de suspension. C’est en substance, ce que vient de juger le Conseil d’État dans un arrêt du 8 avril précisant que, même si des travaux sont réalisés à 90 %, le juge des référés peut encore décider qu’il y a urgence à les suspendre.
Peu empressé à exécuter les travaux de démolition de la voie de contournement du bourg de Beynac-et-Cazenac prescrits par la justice, le département de la Dordogne a été condamné à payer, par un arrêt du 16 avril de la Cour administrative de Bordeaux, une nouvelle astreinte de 1 433 000 €. Cette somme, qui s’ajoute à une précédente astreinte de 489 000 €, sera répartie entre les associations et les riverains demandeurs, qui reçoivent 500 000 € et l’État qui reçoit 933 000 €.
Le ministère de la Transition écologique adresse aux préfets une circulaire révisant les principales priorités assignées au Fonds vert, dans le cadre du plan d’économie budgétaire annoncé par le gouvernement en février, .