Les trois polarités commerciales d'Aubervilliers sont en train d'être restructurées dans le cadre de projets d'aménagement ou de rénovation urbaine. Malgré tout, elles restent déconnectées les unes et des autres. La Ville d'Aubervilliers souhaite mieux les relier entre elles, notamment les pôles centre-ville et Emile Dubois/Maladrerie/Fort d'Aubervilliers appelés à devenir des quartiers du gare du Grand Paris Express. La collectivité lance une étude prospective et de programmation commerciale pour y voir plus clair.
Alors que la désignation de l'équipe chargée d'élaborer le plan-guide est imminente, la Fab lance une mission de médiation, concertation, animation et communication pour accompagner celles et ceux qui seront bientôt chargés de définir le projet urbain du centre-bourg de Bassens. Un enjeu clé pour la future opération d'aménagement qui porte en elle la promesse d'une forte dimension culturelle pour, précisément, impliquer et fédérer les acteurs autour d'une "narration" commune et faciliter l'"appropriation" des enjeux de transformation.
Ecotone Recherche et Environnement, Biotope et Naturalia Environnement accompagneront Toulouse Métropole dans la prise en compte des enjeux faune et flore relatifs à l'arrivée de la ligne B en 2027 et de la C en 2028. La Commission d'enquête publique a en effet émis un avis favorable pour l'Autorisation environnementale, assorti de 6 réserves et de 2 recommandations. Une des réserves concerne les surfaces de compensation à obtenir avant le démarrage des travaux au sein de la ZAC Enova. L'identification, comme zone d'évitement, de 3 stations de Trèfle maritime, dont une qui nécessite des actions pour la sauvegarder, a également été mise en lumière. On note, en outre, la présence d'une zone arborée à préserver au sud du périmètre de la ZAC ainsi que de zones humides. Une assistance écologique est donc de mise, hors du périmètre de la phase 1.
On note premièrement une friche à Frontignan, générée par le départ de l'entreprise Lafarge. Elle s'étend sur une soixantaine d'hectares, dont 8 hectares pour la partie constructible. Ici, la collectivité entend réimplanter de l'activité économique et aménager un parc urbain face à l'étang. De l'urbanisme transitoire pourrait également être développé pour préfigurer les futurs usages économiques, voire événementiels. Le deuxième site se trouve au nord de la gare et de la RD2, sur un secteur en partie en friche. Une portion est occupée par l'entreprise Timac Agro Sète qui occupe 14 hectares pour une dizaine d'emplois seulement. En outre, 5 hectares appartiennent à la SNCF. L'Agglomération, qui est en train de réaménager le quartier de gare, souhaite profiter des mutations à l'œuvre pour, là aussi, attirer de nouvelles activités économiques.
Invitation gratuite à la conférence du 26 Juin à 14h30 en présentiel et en distanciel. Comment les enjeux de santé peuvent-ils irriguer l’ensemble des politiques locales et des projets urbains ? Retour sur l’exemple précurseur de Besançon, avec la mobilisation des outils d’économie mixte.