La phase 2 du projet porté par GPA a franchi plusieurs étapes importantes, avec la validation du plan guide à la fin 2023 et, plus récemment, la tenue de la concertation préalable à la déclaration de projet valant mise en compatibilité du PLUi de Plaine Commune. L'Autorité environnementale vient également de rendre un avis délibéré sur ce projet d'écoquartier qui se déploie sur une ancienne friche militaire. Elle salue les options retenues en termes de densité urbaine, de préservation du patrimoine bâti ou encore de renforcement de la biodiversité.
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Près de 20% du programme reste à réaliser dans ce nouveau quartier qui s'est développé autour du terminus du RER A, à l'extrêmité nord-ouest de l'agglomération de Cergy-Pontoise. Le futur urbaniste en chef prendra la suite des urbanistes Patrick le Merdy et Michel Guérin et devra accompagner la collectivité dans la finalisation des derniers lots, des fiches de lot au dépôt des permis de construire. Au nord de la Sainte-Apolline, il s'agira également d'intégrer les mutations urbaines qui se dessinent et notamment le projet de reconversion de l'ancien parc à thème Mirapolis en résidence hôtelière.
En 2022, le groupement Marniquet-Aubouin/Paysage & Territoire/Iris Conseil/Filigrane, sous maîtrise d'ouvrage de la SPL Chartres Aménagement, a élaboré un plan guide visant à changer l'image du QPV Vieux Puits. Déçue de ne pas l'avoir vu inscrit au NPNRU, la Ville de Lucé poursuit par d'autres moyens la mutation de ce secteur composé de tours et de barres vieillissantes, où les rixes urbaines dégradent le cadre de vie du quartier. Au programme, il est prévu la démolition de 238 logements sociaux, la construction de 450 nouveaux logements intermédiaires, ainsi que le réaménagement d'espaces publics. Ces dernier accueilleront le Bois de l'Aube, un parc de 2,5 hectares issu de la valorisation des espaces verts déjà bien présents dans le quartier, mais aussi de la réhabilitation de friches industrielles. Autre élément qui devrait désenclaver le QPV : l'aménagement d'une trame verte le long de l'ancienne voie SNCF qui permettra de rejoindre les centres-villes de Lucé et de Chartres.
Les terrains de la ZAC du Techopole Agen Garonne pourraient s’épuiser d’ici 2028, bien avant que le foncier de la base RFF, 43 hectares au total, ne soit libéré à l'horizon 2032. Pour anticiper un éventuel trou d'air, l’Agglomération d’Agen souhaite donc aménager les terrains situés au Sud-Est de sa zone d’activités, de manière à pouvoir céder du foncier économique sans interruption durant ces 4 années. La collectivité fixe l'horizon d’une délibération du dossier de réalisation de la ZAC à la fin de l’année 2026.
