C'est une des premières sorties de Lamia El Aaraje. Les travaux de construction de 89 logements commencent - un projet de l'agence Vincent Parreira porté par la RIVP, pour une livraison fin 2025. Alors que "quatre autres lots sont en phase permis de construire", nous indique Sandrine Morey, directrice générale de la Semapa, qui aménage le quartier Python Duvernois, le lot 5 va être mis en consultation "début 2025". Lamia El Aaraje, nouvelle maire adjointe en charge notamment de l'urbanisme, posait la première pierre du lot 8/9 ce vendredi 4 octobre. C'était aussi la première pierre de la transformation du quartier, dont la métamorphose est déjà sensible avec la livraison de la phase 1 d'un parc de 3 hectares, qui apporte une qualité paysagère nouvelle dans la ceinture verte parisienne, avec son large bassin "nature" bordé d'estacades.
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Livrée il y a deux ans, la Tour Aurore s'est augmentée de six niveaux et, avec son pavillon de 8 étages, elle bénéficie désormais, au-delà de ses nombreux bureaux, de plusieurs restaurants, d'espaces de coworking, d'un drugstore ou encore d'une salle de fitness. Un bon moyen de rendre le quartier plus agréable pour les travailleurs mais également pour les habitants. En effet, pour complimenter ce nouvel ensemble moderne et agréable pour les futurs salariés, les espaces publics du quartier Reliefs-Iris ont été réaménagés. Ils offrent aujourd'hui plus de lumière, plus d'ouverture et plus de végétal.
L’établissement de santé va prendre place à proximité du carrefour Gallieni, sur deux parcelles d'une surface cumulée de 10 760 m². L’objectif est de créer un hôpital de proximité de 17 100 m² à destination des habitants de Seine-Saint-Denis, les activités chirurgicales de pointe étant dévolues à l’hôpital Avicenne, à Bobigny. Équipement structurant, le nouvel hôpital Jean-Verdier devra aussi s’insérer et s’ouvrir sur la ville de Bondy.
En 2019, une étude menée par l'agence AID a préconisé le développement d'un parcours marchand plus resserré autour de quelques polarités et de la place centrale. Des objectifs que la Ville de Saint-Priest et la Métropole de Lyon ont intégré dans le projet global de renouvellement urbain du secteur. Ainsi, en plus des démolitions de commerces, de la rénovation de certaines cellules et de la création de rez-de-chaussée commerciaux au sein de nouveaux bâtiments, le NPNRU prévoit une diversification de l'offre en logements, la requalification des copropriétés fragiles et l'amélioration des espaces publics.
Lauréate du Plan de transformation des zones commerciales, la Ville d'Amiens poursuit les réflexions entamées en 2012, dans le cadre de l'approbation du SCoT du Grand Amiénois. A l'époque, la zone commerciale devait jouer un rôle clé dans le rééquilibrage du développement urbain et économique de l'agglomération vers le nord. Il était notamment envisagé l'accueil de nouvelles opérations, des requalifications d'espaces publics et des réhabilitations de bâtiments vieillissants. Le Plan lancé par le gouvernement en septembre 2023 lui permet d'accélérer ses projets en lançant de nouvelles études d'optimisation foncière afin d'ouvrir la zone commerciale de la Vallée Saint-Ladre à une nouvelle programmation.
Inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2005, le centre reconstruit du Havre a connu plusieurs opérations de mise en valeur du patrimoine et des espaces publics sur ses 133 hectares. Et ce n'est pas terminé : la requalification du bâtiment de l'espace Graillot en Centre d'art contemporain, la modernisation du terminal croisière, la restauration de l'Hôtel de Ville ou encore la mutation du secteur tertiaire d'entrée de ville sont engagées ou en cours de réflexion. Mais ces transformation ne peuvent se faire que dans le respect des recommandations récentes du Centre du patrimoine mondial sur le maintien de la "Valeur universelle et exceptionnelle" du secteur, mais aussi de l'Aire de mise en valeur de l'architecture et du patrimoine valant Site patrimonial remarquable.