L'adjoint au maire d'Issy-les-Moulineaux revient pour Cadre de Ville sur les quatre opérations majeures de la commune : la ZAC Léon Blum, Issy Cœur de Ville, la ZAC du Pont d'Issy et le secteur de la rue Guynemer. Une vingtaine de tours sont à venir ou en cours dans la ville, et la municipalité fait appel à de "grandes signatures architecturales" pour assurer leur acceptabilité par les habitants. Si la Ville revendique aussi un tropisme très "smart" city, l'élu assure qu'aucun quartier n'est pour autant oublié - pas même les Epinettes où une place est actuellement réaménagée.
Pour construire une éco-agglomération comme le veut son pacte territorial, l'EPT mise sur la mixité existante du territoire reliant Paris à Fontenay-sous-Bois, le long du plateau de Romainville. Et espère constituer un "parc habité" à partir des plus de 300 hectares d'espaces verts publics accessibles, en commençant par mettre en réseau les 220 hectares existants. Derrière l'opération en elle-même, dont l'étude pré-opérationnelle a été confiée à l’agence TER, Cuesta, Une Fabrique de la Ville et Inddigo, l'EPT affirme vouloir "promouvoir un modèle de développement urbain faisant émerger une entité paysagère et urbaine à travers un maillage à caractère naturel".
La Ville lance un appel à projet sur le site du Balsan, dans le cadre du programme national Action Cœur de ville. Le projet pourra être mixte, mais devra s'accorder avec l'ensemble des efforts engagés sur le centre-ville et porter de nouvelles formes d'habitat, ou encourager un regain commercial.
Le texte qui veut impulser une rénovation énergétique des bâtiments et lutter contre la fraude aux certificats d'économies d'énergie a connu en juillet de nombreuses modifications, en commission puis en séance publique, où il a été adopté jeudi 18 juillet 2019. Le projet de loi sera maintenant examiné par une CMP jeudi 25, en vue d'une adoption à la rentrée prochaine.
EPAFrance lance la 4e phase d'aménagement du Val d'Europe et cherche une maîtrise d'œuvre pour plancher sur les infrastructures primaires de gestion des eaux pluviales.
Pour la Cheffe du Service Organisations Urbaines, de l'ADEME, il faut se focaliser sur les actions réellement transformatrices et à bénéfices multiples. "Il est encore possible de llimiter le réchauffement", mais "il convient de ne pas dissocier la mobilisation sur l’adaptation, de celle sur l’atténuation des effets du changement climatique".