L’annonce des lauréats n’aura finalement été qu’une formalité lors de la clôture de l’appel à projet. Au fil des interventions, amorcées par les discours des ministres du logement et de la culture, l’évènement a surtout été l’occasion de souligner l’impératif de repenser la production de logement à l’aune de l’urgence climatique, des besoins en unités d’habitation abordables, et de l’émergence d’un nouveau rapport à l’habitat, plus inclusif pour ses occupants – évoqués comme des "gardiens" ou garants de "la performance quotidienne" de leurs lieux de vie – tout comme le vivant dans son ensemble. Quitte à bousculer les outils généralistes du renouvellement urbain…
Suite des consultations simultanées pour construire le front urbain sur le parc Chapelle Charbon dans une démarche de participation active des habitants. La consultation d'opérateurs privés avec architectes pour un peu moins de 5 000 m² dans le lot B sera ouverte sur le site de l'étude notariale Cheuvreux lundi 14 mars. De son côté, Paris Habitat ouvre les candidatures du concours d'architecte pour plus de 8 000 m² sur le lot D. La Ville de Paris présentera les enjeux du projet vendredi 11 mars au Pavillon de l'Arsenal, de 9h à 11h.
Meaux s'est engagée dans une démarche de mise en valeur de son patrimoine à travers plusieurs opérations de végétalisation et de piétonisation, notamment en bord de Marne ou autour de la cathédrale. Elle souhaite poursuivre cette démarche avec une approche globale, à l'échelle des sept places de son centre-ville, dont l'une - celle de l'Hôtel de Ville - fera l'objet d'un concours de maîtrise d'œuvre. La Ville recherche aujourd'hui un AMO pour élaborer un schéma directeur paysager de ces places (ainsi que de leurs liaisons) et pour préparer ledit concours.
Pascal Mailhos, préfet de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et du Rhône, a lancé officiellement le projet du futur centre administratif d’État avec le démarrage d’un premier bâtiment, qui abritera les services de la direction régionale des Finances publiques et ceux de l’Insee. Il sera livré en 2023. Suivront la déconstruction de la Cité Administrative d’État et la reconstruction de bâtiments mixtes : 15 000 m² de bureaux et 30 000 m², livrables en 2026.
"Nous sommes attractifs, nous accueillerons de nouveaux habitants, mais nous n'avons pas vocation à changer de statut ni de taille". Le maire élu depuis 2014, qui fut président du département veut à la fois conforter la dimension d'excellence de l'agglomération d'Angers dans tous les domaines de la transition écologique, mais aussi la conduire dans la modernité en encadrant une croissance assumée, partagée entre la ville-centre et la périphérie, mais limitée.